Compas méprisable de cette édition de la Quinzaine des Réalisateurs pourtant aussi radicale qu’empreinte de douceâtre empathie, Dogs don’t wear pants joue à merveille le rôle de l’idiot utile de sélection, crapoteux et malin. Soit, un récit ahurissant et révulsant où un veuf se prend de passion, jusqu’à l’énervement (au…
