Mathias Malzieu adapte son roman éponyme, publié en 2019. Il en résulte une histoire d’amour désincarnée, un scénario bancal et un film qui n’arrive pas à la hauteur de ses références. Pari manqué pour Une sirène à Paris qui, au lieu de faire rêver, ennuie profondément.
Dans votre précédent film, Michael Kohlhaas, l’œuvre d’origine rendait nécessaire l’accent du personnage, celui de Mads Mikkelsen en l’occurrence. Or, ici encore, avec Gemma Arterton, Sergi Lopez et Robert Hunger-Buhler, respectivement britannique, espagnol et suisse, vous travaillez encore autour de cette question de l’accent, vous faites cohabiter différentes façons de…