Réalisés entre 1961 et 1966, les trois films de Shohei Imamura édités par Elephant Films viennent nous rappeler que le réalisateur de L’Anguille, resté si vigoureux artistiquement à la fin de sa carrière, était bien, dans ses jeunes années, l’un des enfants les plus terribles du cinéma japonais. C’était aussi…
