Dans deux des films majeurs de l’année 2004, Rois et reine d’Arnaud Desplechin et Saraband d’Ingmar Bergman, un même événement venait faire exploser les tensions sous-jacentes du récit : l’apparition d’une lettre écrite par un mort. Jolie coïncidence. Jolie image aussi, dont il serait tentant de s’emparer pour illustrer cette année…
