En seulement quelques films, et guère plus d’une dizaine d’années, de Cronos au Labyrinthe de Pan, en passant notamment par L’Échine du diable, Guillermo del Toro a imposé un univers très personnel, singulier, peuplé de monstres, de fantasmes et de symboles, entre science-fiction, fantastique et drames intimes et introspectifs. Comment a-t-il…
